Fortement entravé par les dictatures militaires, le cinéma brésilien voit apparaitre à la fin des années 70 une génération de talents, comme Héctor Babenco (Pixote, la loi du plus faible), qui lui permet de connaître un certain succès international. Les thèmes abordés sont souvent liés à la misère des quartiers populaires (La cité de Dieu), qui n'exclut pas un certain onirisme (Rio, I love you).
Ces dernières années des cinéastes brésiliens ont obtenus une reconnaissance internatioanle, comme Walter Salles (Central do Brazil, Sur la route).